
10 octobre 2025
Sa situation avait été vigoureusement dénoncée par la CGT de l’Allier.
Au cœur de l’été, comme 500 autres médecins en France, elle avait été sommée de s’engager formellement dans une réduction des prescriptions d’arrêts maladie, nettement plus nombreuses que la moyenne de ses confrères.
La médecin avait notamment fait valoir le fait qu’elle prenait en charge une patientèle plus touchée que la moyenne par des maladies chroniques comme les troubles musculosquelettiques.
Ce médecin depuis une trentaine d’années salue la mobilisation qui s’est faite autour d’elle.
Dans un communiqué, l’Assurance maladie confirme l’abandon des procédures. "Le respect de la phase contradictoire aurait permis l’instauration d’un échange qui aurait pu aboutir à cette décision en début de procédure", regrette-t-elle, assurant que le docteur avait été contactée dès juin de la situation.