
12 septembre 2025
C’est une problématique à laquelle beaucoup de parents doivent faire face à chaque rentrée.
S’il y a peut-être moins de scooters, les voiturettes électriques sans permis de plus en plus prisées pour la mobilité des adolescents.
Et sont pour beaucoup synonymes de liberté. Léonie vient de rentrer au lycée. Depuis son année de troisième, elle utilise une voiturette électrique. "Au début, j'étais un peu stressée à l'idée de conduire toute seule. Mais au fur et à mesure, je me suis sentie rassurée. Cela fait du bien de se sentir plus en liberté."
Plus de liberté pour les ados. Moins de contraintes pour les parents. Gwendoline, la maman de Léonie, a approuvé cette solution. Plus sûre, dit-elle, que les deux-roues motorisés. " Un scooter quand il fait froid, qu'il pleut, les risques de chute sont quand même plus importants. Là, elle est un minimum protégé".
Vitesse maximale de ces véhicules, 45 km/h pour une autonomie de 75 kms. Pour être autorisés à en conduire, une formation de 8 heures minimum est nécessaire pour les jeunes. Alors, les concessionnaires le confirment, la demande est de plus en plus importante.
" Ce sont des véhicules que l'on vend de plus en plus surtout aux jeunes, confirme Arnaud Verrier, concessionnaire de véhicules légers chez Citröen à Montluçon. Comme on en croise de plus en plus sur la route, les gens se renseignent".
Reportage complet diffusé dans nos journaux de ce vendredi.
Citroën aurait écoulé plus de 65.000 unités de son Ami électrique, en quatre ans de commercialisation.